Malgré la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus, les écoles vont rouvrir leurs portes dans beaucoup de pays de part le monde. Les parents d'élèves ont le dos au mur parce que la situation financière n’est pas reluisante en raison de la crise. Pourtant, les enfants doivent aller à l’école. Voyons comment et pourquoi la rentrée scolaire met les économies familiales à rude épreuve, surtout par ce temps de crise sanitaire.
Les fournitures scolaires, un casse-tête pour les parents
L’impact économique du Covid-19 complique la rentrée scolaire dans de nombreux pays de part le monde. Dans la majorité des pays du sud, très peu d’écoliers et élèves ont pu reprendre le chemin de l’école, car n’ayant pas encore le nécessaire, notamment les fournitures scolaires pour démarrer l’année. Le pouvoir d’achat des citoyens, qui était déjà faible, a diminué considérablement en raison de la crise sanitaire qui a mis tout le monde KO. Difficile pour les parents d’assurer leurs devoirs vis-à-vis de leur progéniture. L’économie des familles presque creuse en raison du blocage des activités pendant des mois, gémit sous le poids des budgets à consentir pour la reprise des classes des enfants. Une situation presque identique à celle des pays occidentaux, notamment la France, où le budget des familles a augmenté de 6,2% pour cette rentrée scolaire. Si vous recherchez une source fiable pour en savoir plus, cliquez ici.
Les parents portent la croix mais résistent tout de même
Pour l’éducation de leurs enfants, les parents ne reculent devant rien. Un investissement certes contraignant dans le contexte actuel, mais cela vaut la peine, car un enfant qu’on éduque, c’est un adulte qu’on gagne. Conscients de cela les parents ont comme à leur habitude pris à bras le corps la nouvelle rentrée scolaire pour espérer un jour gagner des hommes et femmes capables d’assurer la relève. En général pour y parvenir, ils sont obligés de se tourner vers des emprunts pour pouvoir inscrire les enfants, et leur acquérir le matériel didactique. D’autres, face au budget des fournitures scolaires, ajouté à la première tranche de l’écolage qui leur fait grincer les dents, n’ont d’autre choix que de vendre certains de leurs biens à des prix forfaitaires.